Flos medicinae Scholae Salerni.

Date:
1859
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Credit: Flos medicinae Scholae Salerni. Source: Wellcome Collection.

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    partie. Isaaci fol. 149. 1. col.; quaerîtur per quam viam ca- put (piscis) sit saporosum secundum ilium versum: Cauda ré- git... Telle est poiis nous la source de ce vers, que nous n’a- vons point rencontré ailleurs. V. '716. Ce vers ne se trouve dans aucun desMSS. Arnauld le donne dans ses additions parmi ses commentaires. Nous le trouvons encore dans le Recueil imprimé sous le nom de Ma* gninus fol. 55. en ces termes: Solus igitur ille caseus est bo- nus quem dai avara m.anus. Cela nous parait propre à con- firmer l’opinion de Barthélémy Corle , cite per Eloy dans son Dictionn., et suivant laquelle il faut croire que le nom de Magninus est le pseudonyme que prit Arnauld lorsqu’il fuyait les persécutions de l’Universite de Paris. V. 722 a 736. Ont été copiés par Pictorius dans son Metho- dus Sanilatis ( v. 327 et suiv. ) Il est à présumer qu’il a eu sous les yeux quelque MS. ancien , de ceux ou A. Croke a pris ses additions. — Enfin sur le point si contesté alors des vertus du frommage voici l’opinion de Pierre d’Espagnei Ad aliud quaesitum de stultis quaru libenter comedunt caséum, vna causa est quod simile appétit simile: stulti autem sunt melancholici et caseus est melancholicus. Ulterius quum stulti circa praeparationem suorum condimentorum non sunt multuni solliciti, ideo libenter comedunt caséum cum prae- paratuni inveniant. Cf. Petr. bisp. Comm. in Isaac De diaeiis partie. V. 143. 1. col. imo. V. 749. V. Isaac De diaet. partie, v. 110. Secundum Hip- pocr. ciceris sunt duae potestates diversae atque contrariae , cum coquitur eas amittit et in aqua, ubi coquitur, redeunt, V. 760. Dans le pseudonyme Floridus Macer , De viribus herbarum Cap. XV, au commencement, on lit: Herbam quam neptam vulgari more dicimus Hanc Mndici graeco calamenti nomine dicunt. Calaminte c’est la nepita vulgaris, ou eataria vulgaris, la Ca- taire , herbe aux chats. Dans les Synonima du Supplem. de Mesuae p. 238. col. 4 ; Nepta, idest, sulphur , vel Olivatum cum amurca sua , vel herba pilosa quae nascitur in campis , vel confectio quaedam. —Cretauos, epithete légitimé de por- ros; le porreau étant originaire des Iles inhabités de l’Archi- pel peut bien être nommé Cretois. On trouve Cretanus seul parmi les Diuretica calida dans les Tabulae Salerni. V. 762 a 764. Isaac Praet. Lib. II. v. 67. Borrago . . .'va- let melancolicis et tristibus sine causa, maxime si bibatur cum vino et zuccara ; lingua arabica dicitur bederam bone , idest, laetificans cor. V^. 772. Isaac Theor. Lib. V. cap. 46. v. 22. Caulis diver-