Splénalgie et splénomégalie : leur influence sur la température dans les maladies infectieuses : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 15 février 1901 / par Léon Laroche.

  • Laroche, Léon, 1876-
Date:
1901
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Credit: Splénalgie et splénomégalie : leur influence sur la température dans les maladies infectieuses : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 15 février 1901 / par Léon Laroche. Source: Wellcome Collection.

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    - :u) - typhoïde...; en un inol,è la .snil(Mrune//z/‘ee//o/Mjuelcün- qu(‘ on la l’ale est appidée à Joikm’ un rôle actif, où le san^ altéré, chargé de inicroorganisines, viendra exciter l’acti- vité s|)éciale de ses cellules inaci’ophages. Lors(|u’au contraii’e, la splénomégalie sera due à uii(‘ siiu[)l(‘ dilatation mécaniipie par gêne cii’culatoirii, lors(|ue nous aui’ons aiïaii’e à nm' rate siin|)leineut cardiaque, le rôle (le cet organe étant dans ce cas absolument jiassif, son augmentation de volume ne s’accompagnera ordinai- rement pas de lièvre (1). Il faudrait, pourque nousayons de lai’ges oscillations de tenqjératurcq que la rate cardia- (jue réveillât une infection ancienne demeurée latente, ainsi (jue nous l’avons constaté dans notre observation I\b Nous ferons remarquer, toutefois, (jueces lai’ges oscil- lations de température d’origine splénique ne s’observent bien et dans leui’ intégrité que dans les infections chroni- ques (obs. IV), (jue lorsque la maladie qui a causé secon- dairement la splénopathie n’influe pas ou ju*es(jue pas, par elle-même, sur la ùunpératui’e. Dans les infections aiguës, au contraire, elles subissent des modifications par lefait même du processus inb^clieux, (pii imprime à la courbe tliermiijue son caractère jiarli- culier, réduisant ainsi l’anijilitude des oscillations (obs. I). L(‘ caractère de la courlx'therinitpuvdans ces cas, dépend ( 1 ) l^iorry expliquer l’absence (te fièvre, dans certains cas on la rate est pourtant voluniinense, parle fait d'nne altération trop profonde dn tissu splénique,d’nne tro]) grande distension on d’nne trop grande compression d(‘s nerfs (jni('idrent dans sa conq)osilion.