Contribution à l'étude des adhérences du grand épiploon : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 26 juillet 1905 / par Jean Gazagnes.

  • Gazagnes, Jean.
Date:
1905
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Credit: Contribution à l'étude des adhérences du grand épiploon : thèse présentée et publiquement soutenue à la Faculté de médecine de Montpellier le 26 juillet 1905 / par Jean Gazagnes. Source: Wellcome Collection.

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    que les symplômes de brides épiploïques existant seules et l'aisanl toute la maladie. 11 est certain que beaucoup d’adhérences passent inaper- çues et n’olïVent peiulant la vie aucun symptôme ; elles restent latentes et ce n’est (pi’à rautoj)sie du sujet mort d’une aiïection intercurrente qu’on a pu constater leur j)i'ésence. ()i‘ il est à remar([uer que ces adhérences peuvent être aussi étendues que celles des sujets qui piésentent des troubles si graves (pi’unc laparotomie s’impose. Quelle est donc la cause qui fait qu’une adhérence passe inaperçue chez l’im et donne lieu chez l’autre à des sym])tômes alarmants? On a souvent tendance :i incriminer une disposition spéciale du sujet, l’hystérie, l’hypocoiuh ie, en vertu de lacjLielle il réagit contre une cause d'excitation (jui demeure sans ellet chez un individu normal. Cela peut être vrai dans quelque cas, mais on a été sans doute porté à abuser de cette explication, et les résultats thérapeiitic[ues montrent qu’en général les accidents dus aux adhérences peuvent s’expliquer par une disposition particulière de celles-ci, telle que le fonctionnement des organes se trouve gêné ou produit des tiraillements (1 j. L’éi)ij)loon pouvant adhérer pathologicjucmcnt à la paroi abdominale, à l’estomac, à l’intestin, au foie, à la vésicide biliaire et aux organes du [)etil bassin, nous passerons successivement en revue les .symptômes aux(|uels les adhé- rences donnent lieu dans tous ces cas. (iette division est toute factice, car il n'est pas i-are d'oh- (1) iNovü-Josseraiid et Goinard, Ljjoii. Médical, 18'J7.