De l'embryothlasie et en particulier de la céphalotripsie : thèse présentée à la Faculté de médecine de Strasbourg et soutenue publiquement le samedi 22 août 1863, à 3 heures, pour obtenir le grade de docteur en médecine / par J.F. Édouard Lauth.

  • Lauth, J.F. Édouard.
Date:
1863
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Credit: De l'embryothlasie et en particulier de la céphalotripsie : thèse présentée à la Faculté de médecine de Strasbourg et soutenue publiquement le samedi 22 août 1863, à 3 heures, pour obtenir le grade de docteur en médecine / par J.F. Édouard Lauth. Source: Wellcome Collection.

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    rupture des membranes; la perforation donna une réduction suffisante pour que le forceps put amener la tête ; mais on fut obligé, d'agir sur les épaules avec le céphalotribe. Une hémorrhagie, se déclara; elle fut bientôt conjurée. Restent enfin quatre observations., où un des accidents principaux fut l’incontinence. d’urinesiDans -le cas ide: Hüter' (4'1)ôojj le .vagin fut en même temps douloureux, Cinquante-deux heures s’étaient écoulées de puis le départ des eaux. Le degré de rétrécissement n’est pas indiqué. Gn fit six tractions .avec <le forceps*: etdèux avec le cépbalotribe ÿsans perfo- à Pajot. Chaque! fols le rétü'éoksâÈrfeiif était, porté, ào&aentimètcesi La durée du travail, non déterminée dans umcasj fut de: vingt-quatre. à vingt-six heures dans les deux autres. La premiéte fbis on avait, après avoir broyé à.deuxrrêprises fait'des tractions, sans .réussir; Onrs’abstint pendant la nuit de toute nouvelle tentative,-et le matin la tête fut ex- pulsée. Dans les- deux dérme’Sèéagyoffi on.ne.se permit pus de.fraction, un seul broiement suffit. Remarquons que dans l'observation '182, la femme eut en même temps de l'incontinence d’urine et ün endolorisse- ment du vagin. Cette incontinence! symptôme d'une paralysie du col vésical, peutit-rès-bieii être; attribuée à la compression prolongée de la tête fœtale çoniHdolf pâroi\5ésiej}sŸ0ginpléÿ.e)tr]iaous croydnsrquie dams les cas où quatre ou çiuqiiSüanceSdle broiement assez espacées sont nécessaires, onœfestidasintrègdoin d’une, fistule. . . ' r Somme toute autant dé fais iqqe les-oodches ont été troublées par un accident quelque, peu notable, nous-trouvons une cause prédisposante dans les circonstances où s’est trouvée; la malade. . or. ;; a Jn9rn9onornmoo ne aeqqol9vàb 92 jîv noLwi Restent à mentionner-les cas QÙ les comités'favemi imiïemas. Nous pouvons seulement! examiner les circonstances favorables ou déhivora- bles, grâce auxquelles, ou malgré lesquelles, l’opération , eut un succès qui ne fut troublé par aucun accident. Nous distinguerons d’abord les cas où on entr.pecours; ùyla ;perfbfa,tion et à la céphalofripsie que L. 28