Des démangeaisons considérées comme symptome du mal de Bright : thèse pour le doctorat en médecine présentée et soutenue le 1er août 1882 à 1 heure / par Achille Mathieu ; président M. Brouardel ; juges MM. Robin, Debove, Grancher.

  • Mathieu, Achille, 1855-
Date:
1882
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Credit: Des démangeaisons considérées comme symptome du mal de Bright : thèse pour le doctorat en médecine présentée et soutenue le 1er août 1882 à 1 heure / par Achille Mathieu ; président M. Brouardel ; juges MM. Robin, Debove, Grancher. Source: Wellcome Collection.

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    — 10 — symptômes peuvent précéder l’apparition des deux grands et q ue si le médecin ne soupçonne pas la maladie, il peut se laisser égarer loin du siège primordial de cette affection. Il étudié l’œdème des poumons et de la glotte, les vomisse- ments, la péricardite, les troubles de la vue, la dureté de l’ouïe, enfin l’attaque d'urémie. Comme on le voit, Brisht a donné une relation presque complète de la maladie. Il est bien près d’avoir tout vu. mais nulle part il ne fait mention des démangeaisons. Les contemporains de Bright, Christison en tête, se sont surtout attachés à l’etude détaillée des conditions chimi- ques de l’urine al bu mineuse et des altérations du sang, concurremment avec celles de l’urine. Us étudientles com- plications qui surviennent dans les organes autres que le rein. A Rayer (1) revient l’honneur d’avoir réuni avec une érudition extrême les faits contenus dans les annales de la science. Il y a ajouté les résultats de ses propres observa- tions et des nombreuses recherches auxquelles il s’est livré plusieurs ahnées. En publiant son Traité des maladies des reins, on peut dire que Rayer a rendu un véritable service à la science. Celivre contient une foule d’observations, remplies de faits cliniques, qui en rendent la lecture nécessaire. On peutJ dire avec Rosenstein que son livre doit être appelé à bofl droit les archives des maladies des reins. Nous espérions en fouillant dans ces archives, dans ces observations nom- breuses et détaillées, où tout ce qui arrive au malade, même les choses les plus insignifiantes, est noté ; nous es- périons, dis-je, que notre symptôme démangeaison y se— ï;V 8. l'i i: i .Il i 8'ri t ii'ùsû rui. gsoaup a’iînoiTt li ; s ht L./t! u b îxfStnoaeiidiBÏte'J